Aguille de la Persévérance, 2901 mètres, versant sud
Arête S intégrale : D / 250 mètres / 5a-4c obligatoire / 9 longueurs
L1 : 4c, contourner ce gros bloc par la gauche
De la vire inférieure près du fil de l’arête vue sur les ressauts de l’aiguille des Chamois
L2 : 5a, au pied d’une étroite cheminée qui s’évite par la gauche
Accès à la vire supérieure
Le pied du ressaut rouge au-dessus de la 2e vire se rejoint par cette dalle couchée
L4 suit la fissure raide dans ce beau mur rouge au-dessus de Pierre à R3
L4 : fissure en 4c. Coincement coude-poingt requis
Fissure difficile à protéger
Un piton qui date de l'ouverture en juillet 1948
Sortie de L4 : 4a.
L5 : cette fissure amène à la première brèche
Ici il convient de descendre de 5 mètres
Voile de brumes
L6 : 4c. S’engager à droite
Petit surplomb au-dessus de la seconde brèche
L7 : 3b, bien protégé
Le sommet est proche
Il se gagne en 2 longueurs en 3b sur le fil de l’arête
Peu avant le sommet
Pause quelques mètres sous le sommet
Pierre qui, du 23 au 26/08, a enchainé “Padre Pio”, 42 longueurs, 7a-7b au Cervin
Directissime de Furggen par Patrick Gabarrou, Pierre Gourdin et Nicolas Magnin
Au loin Droites, Verte, Drus, des sommets où l’on devient alpiniste
Pierre au premier rappel de l’arête E-NE
Comment placer un rappel lorsque l’une des cordes de rappel est en Dynemaa
Vers la brèche Persévérance-Chamois
Schéma de la descente de l’arête E-NE par Michel Piola (Les aiguilles rouges 1)
L’aiguille des Chamois, 2902 mètres
Les ressauts du Pilier des 7 lacs ou arête S intégrale (Michel Piola)
Dans le grand pierrier de la Persévérance
Le versant sud de l’aiguille de l’Espérance
Ce couloir qu’il est prudent de descendre sans cordées au-dessus
Un réel souci ce pierrier lorsque plusieurs cordées sont engagées dans sa descente
Le refuge du Lac Blanc
