1er jour. Arrivée à Nerin, petit village du Haut-Aragon. Nous passons la nuit à l'auberge d'Anisclo.
Nerin, dont de nombreux toits sont embellis de "cheminées aragonaises".
Gros plan sur les cheminées aragonaises.
Balade au-dessus de Nerin, vers le Mondoto.
Au-dessus de Nerin.
Au-dessus de Nerin.
Sur le Mondoto. Vue impressionnante sur le vaste canyon d'Aniscle.
Vue impressionnante sur le vaste canyon d'Aniscle. Au fond, enneigé, le massif du Mont-Perdu.
Vue impressionnante sur le vaste canyon d'Aniscle.
2ème jour. Nerin, au petit matin.
La montagne aragonaise, au petit matin.
Cheminement dans une végétation arbustive typique de l'Aragon.
Les premiers champs de neige, sur les versants ouest.
Gros sujet de discussion : va-t-on mettre les raquettes aujourd'hui ?
En ligne de mire, le massif du Mont Perdu.
Les plaines se sont déjà bien dégarnies. Nous sommes fin-mars / début avril, mais l'enneigement est celui d'un mois de mai.
Pas encore de quoi chausser les raquettes...
Montée sur la Sierra Custodia.
Montée sur la Sierra Custodia. Première vue plongeante sur le canyon d'Ordessa.
Sur la Sierra Custodia.
Sur la Sierra Custodia. Au fond, le Mont Perdu (sommet du milieu).
Contraste.
On aperçoit enfin le fond du canyon.
Vue vers l'amont du canyon.
Parcours sur la crête de la Sierra Custodia.
Au bout de la crête, descente enneigée. Mais les raquettes restent encore fixées aux sacs à dos...
Au bout de la crête, descente enneigée. Mais les raquettes restent encore fixées aux sacs à dos...
Au bout de la crête, descente enneigée. Mais les raquettes restent encore fixées aux sacs à dos...
Le refuge de Goriz, où nous allons passer 3 nuits.
Nous utilisons enfin les raquettes ;-)
Nous utilisons enfin les raquettes ;-)
3ème jour. Départ matinal pour l'ascension du Mont Perdu.
Plus question de raquettes, désormais. Il faut sortir les crampons.
En montant au Lac Gelé.
Au niveau du Lac Gelé, vue sur le Mont Perdu et sur son fameux couloir, la Escupidera.
Encordement fixé, piolet sorti, en avant.
Ca souffle très fort, en haut du couloir.
Sur la deuxième cordée : Jean-Charles, Céline, José.
Sur la première cordée : Jean-Pierre, René, Emmanuel.
Emmanuel, dans la Escupidera.
Jean-Pierre, dans la Escupidera.
Le vent est trop fort et a formé des plaques en haut du couloir. Trop risqué. Nous faisons demi-tour à 70m sous le sommet.
Un vrai toboggan !
Un vrai toboggan !
Dans la descente, coup d'œil vers le canyon d'Ordessa.
Retour vers le Lac Gelé.
Un dernier coup d'œil vers la Esupidera, qui a été fidèle à sa réputation : les conditions d'ascension sont rarement idéales.
Les crêtes fument.
Descente.
Le canyon d'Ordessa sous la neige. Superbe paysage !
Le canyon d'Ordessa sous la neige. Superbe paysage !
Désescalade.
Désescalade.
Retour au refuge de Goriz.
Séchage de fumantes.
4ème jour. Au petit matin, devant le refuge.
Objectif de la journée, la Brèche de Roland.
Escalade rocheuse.
Escalade rocheuse.
Paysage enneigé, avant le lever du soleil.
Paysage enneigé, avant le lever du soleil.
Premiers rayons de soleil sur les sommets...
...puis sur les Planas de Narziso.
Au fond, légèrement à droite, la Fausse Brèche. La Brèche de Roland se devine complètement à droite.
Aujourd'hui encore, les crampons sont plus adaptés que les raquettes.
En montant vers la Brèche de Roland.
En montant vers la Brèche de Roland.
En montant vers la Brèche de Roland.
La voilà !
La voilà !
Retournez-vous, pour la photo !
Neige dure et pente raide pour monter à la brèche.
A la Brèche de Roland.
A la Brèche de Roland. Des visages radieux !
A la Brèche de Roland. Un visage radieux (si, si) !
En admiration !
Direction le Pico Descargador, au centre.
Direction le Pico Descargador, au centre.
Traversée des Planas de Narziso.
Le groupe en entier sur le Pico Descargador.
La neige a bien fondue depuis ce matin. Mais les crampons restent encore préférables aux raquettes.
Immensité du décor.
Le Mont Perdu, au fond et au centre, avec son couloir vu de côté.
La neige fond de plus en plus.
Joli trou d'eau...
... pour se débarbouiller ! Oui Céline, la neige est un peu froide quand on est pied nu dedans !
Une dernière petite désescalade avant de rentrer au refuge.
5ème jour. Sur les terrasses enneigées dominant le canyon d'Ordessa.
Cascade, au fond du canyon.
Prudence, dans les pentes dominant le canyon.
Prudence, dans les pentes dominant le canyon.
La neige, c'est fini ! Et dire que l'on n'a pas utilisé une seule fois les raquettes (les raquettes à neige, pas les raquettes de ping-pong !).
Sur les larges croupes de la Punta Estiba. Au fond, l'amont du canyon d'Aniscle.
Sur les larges croupes de la Punta Estiba.
Sur les larges croupes de la Punta Estiba.
Ne pas tomber dans les touffes piquantes !
Ne pas tomber dans les touffes piquantes !
Improvisation dans un petit canyon à sec.
Improvisation dans un petit canyon à sec.
Improvisation dans un petit canyon à sec.
Improvisation dans un petit canyon à sec.
Retour à Nerin.
