Au Pré de Madame Carle, le départ de l'ascension : Didier, Frédéric et Yves.
Préparatifs, au pied du "Glacier Blanc".
Après une heure de marche vers le refude des Ecrins, vue sur le Pré de Madame Carle.
Frédéric devant la base du glacier.
Pause devant le massif du Pelvoux.
Didier, Frédéric et Yves.
On longe ensuite le glacier blanc, tout en glace dans sa partie inférieure.
Au bord du glacier.
Philippe devant le Pelvoux.
On s'élève petit à petit vers le refuge. La fatigue augmente.
Attablés au réfuge (3000 m d'altitude), Frédéric et Yves.
Yves et Didier : que la soupe est bonne, à 3000 m !
Philippe et Gilles : après l'effort, le réconfort.
Le lendemain matin, après une heure de marche, on arrive au pied des premiers séracs.
9 h 00 du matin : au pied du Dôme des Ecrins (4000 m), le site de décollage.
La pente est raide : y étaler les voiles sans qu'elles glissent n'est pas commode.
C'est parti pour la descente : vue aérienne sur le glacier blanc.
On distingue la trace de la montée sur le glacier (à droite en bas).
La Barre et le Dôme des Ecrins
A 3500 m d'altitude, en vol au-dessus des séracs du bas du glacier blanc.
Nous avons gravi tout ça en deux jours, il faudra 30 minutes pour tout redescendre.
A la verticale du glacier, on distingue le refuge du glacier blanc.
Nous avons survolé toute cette crête, qui descend du Dôme.
Le glacier blanc dans son ensemble.
Le refuge du glacier blanc, et la fin du glacier.
Séracs...
Le Glacier Noir, et la Barre des Ecrins à droite
