Depuis le refuge d’Orny, 2862 m, la face nord déneigée du Grand Portalet où plus personne ne s’aventure.
Le Grand Combin et l’arête du Meitin. Le 04/09, télésiège de la Breya, 11h30. Refuge d’Orny, 14h30.
Le Petit Combin et le glacier qui mène à Bourg Saint Pierre. Une classique du ski de randonnée.
La fissure-dièdre qui conduit à R1 le 05/09/2020. Refuge d’Orny, 5h45. Attaque voie classique 6h45 - 7h.
Voie rééquipée (spits) en 2007 par Raymond Angeloz et Eliane Gindre.
D-, 4c max.
Ces premières longueurs sont à l’ombre en ce matin du 5 septembre.
Alex Pittin avec qui j’ai fait le Fantôme de l’Opéra à la falaise de Barberine en 2019.
Les Dorées.
L’aiguille du Chardonnet, l’arête Forbes et l’éperon Migot.
En dehors de la voie le rocher est parfois délitée.
Alex remonte des dalles brisées un peu à gauche de l’arête.
A proximité de R4 près du sommet du premier gendarme de l’arête sur sa face ouest.
Le dernier gendarme de la Classique.
Alex au relais après la traversée de la brèche qui sépare les deux gendarmes.
La face nord du Grand Portalet quelque peu enneigée après le bref épisode neigeux de la mi-août.
Du versant W passer en face sud.
Au sommet du premier ressaut.
Progression aisé où pour la première fois nous bénéficions du soleil.
Grand Portalet, Dorées, Grande Fourche, Chardonnet. En arrière-plan, Mont Dolent et la Verte.
Javelle, Trident, Aiguille sans Nom, Tête Biselx, Aiguilles Penchées qui rythment la traversée E-W des Dorées.
Right facing corner qui impose une dülfer protégée par deux spits.
Alex à R6.
Au loin les mythiques 4000 valaisans.
Le dièdre qui marque la face SW à gauche de l’arête.
Suivre cette large fissure.
Puis revenir dans le dièdre à gauche.
Franchir ce surplomb.
Dülfer.
En aval du sommet de l’aiguille d’Orny, 3150 m, 9h30. Descente 10h. Refuge d’Orny, 11h30.
Plateau du Trient, Aiguille du Tour.
Et toujours les Dorées. En arrière-plan la face nord de l’aiguille d’Argentière.
