J-F. Reymond, Patrick Ancey examinent la traversée Rochefort - Grandes Jorasses de la gencive du Géant.
Départ à 8h de la Pointe Helbronner. Les arêtes effilées de la partie initiale des arêtes de Rochefort, 4010 m.
Assurage délicat d’arêtes aériennes, exposées qui nécessitent des cordées homogènes au pied sur.
Le glacier du Mont Mallet approche de la 1er ascension de l’aiguille de Rochefort le 14 août1873.
Les Périades, la Mer de glace, les aiguilles de Chamonix ce 31 juillet 1996.
Difficulté : III 1 3a selon Philippe Batoux. Assurance en mouvement sur traversée.
Passer à gauche du doigt de Rochefort.
Remonter une arête en rochers médiocres sur son versant N-E pour gagner le Dôme de Rochefort, 4015 m.
Aiguille Pierre Allain, aiguille du Requin et aiguille du Plan.
De l’arête N-NE du Dôme de Rochefort, les Pointes Young, Margherita, Hélène, Croz, Whimper et Walker.
La Branche ouest du Glacier des Grandes Jorasses, Les rochers Whimper.
Les rochers du Reposoir.
J-F. Reymond.
La traversée des aiguilles de Chamonix. Pour le rappel du Caïman, Pierre Allain utilisa en 1945 son décrocheur !
Le Dôme de Rochefort, gagné par le bord droit de sa face ouest à proximité de l’arête SO.
Descente du Dôme par l’arête N-NE jusqu’à la section rocheuse qui précède la Calotte.
Les arêtes parcourues depuis l’aiguille de Rochefort où il n’est pas possible de se placer de part et d’autre.
Peu avant la Calotte de Rochefort.
Demain parcourir tous les sommets des Grandes Jorasses dont les rochers en haute altitude sont secs.
Le Mont Blanc et des conditions météo parfaites : soleil, pas de vent.
Le versant sud des Aiguilles de Chamonix traversée le 25/07/1995.
Pause au sommet de la Calotte de Rochefort, 3974m.
Drus, Verte, Droites, Courtes dont les traversées sont toutes de grandes classiques exigeantes.
Cinq rappels de 30 m (4 relais sur spits, 1 sur piton) amènent au col des Grandes Jorasses, 3825 mètres.
Col des Grandes Jorasses, bivouac Canzio 15h30.
A proximité du bivouac Canzio, un demi-tonneau pour six alpinistes à 3818 mètres.
Les aiguilles de la Grande Rocheuse et du Jardin parcourues le 22/07/96 avec J-F. REYMOND.
Bivouac Canzio quitté à 8h le 01/08. Equipement la veille des 2 premières longueurs de la pointe Young.
Escalade d’une fissure-rampe (30 m) en ascendance à gauche (4b) qui rejoint une terrasse en face nord.
Drus, Aiguille Sans Nom, Verte, Grande Rocheuse et Aiguille du Jardin.
Patrick Ancey contourne un bloc en face nord de la pointe Young.
La ligne de fissures obliques qui rayent la face nord encore en partie enneigée.
Cordée italienne descendue depuis l’épaule de l’arête est jusqu’à cette seconde petite brèche de l’arête.
De la brèche de l’arête est, vue sur la Pointe Marguerite, 4065 m, et le couloir enneigé sous sa brèche.
Noter l’aiguille de l’Eboulement, 3599 m, et son couloir sud-est enneigé.
Noire et Blanche de Peuterey, Mont Blanc, Mont Maudit, Mont Blanc du Tacul et ses piliers rocheux.
La brèche de l’arête est de la Pointe Young d’où l’on bascule en versant sud.
Le rappel qui permet de gagner le couloir sud-ouest enneigé de la pointe Marguerite.
La cordée italienne remonte ce couloir en deux longueurs qui mènent à une plate-forme (bivouac possible).
Les Alpes Pennines.
Le Dôme de Rochefort et le sommet est de la Calotte de Rochefort, descendu en rappel.
La cordée de Patrick descendue de la brèche par des vires en versant sud de la pointe Young.
La longueur raide (IV) qui qui amène à la brèche entre les 2 sommets de la Pointe Marguerite.
En arrière-plan le glacier du Ruitor et l’intégrale de Peuterey.
Le profil des faces nord des pointes Croz et Whimper.
Oser s’aventurer dans la traversée des aiguilles Sans Nom, Verte, Grande Rocheuse et du Jardin.
Descendre le fil de l’arête est de la Pointe Marguerite pour rejoindre la Pointe Hélène.
En versant sud, ce passage exposé sous le fil de l’arête.
Les Pointes Croz et Whimper. Pour y accéder un cheminement aérien.
Remonter cette arête jusqu’au sommet de la pointe Hélène en se tenant sur le flanc nord.
Le sommet de la Pointe Walker.
Remonter l’arête de la Pointe Croz. Poursuivre en terrain mixte, puis enneigé vers la pointe Whimper.
L’arête de neige qui sépare Pointe Croz et Whimper.
Pause sous le sommet de la Pointe Whimper. Nous renonçons à gagner la Pointe Walker…
Le 01/08, Col des Grandes Jorasses 5h. Pointe Young, 3996 mètres. 7h30. Pointe Marguerite 10h.
Pointe Hélène, Pointe Croz, 4110 mètres. Pointe Whymper, 4184 mètres, 15h30.
La descente par les rochers Whimper est l’option la plus judicieuse. En restant proche du fil.
Le grand sérac qui surplombe le plateau supérieur du glacier est des Grandes Jorasses.
Le rocher du Reposoir dont l’accès est souvent difficile.
Le glacier occidental ou ouest des Grandes Jorasses dominée par les pointes Marguerite et Hélène.
De la base des rochers Whimper aux rochers du Reposoir une traversée exposée aux chutes de pierre.
Le col des Grandes Jorasses et le sommet oriental de la Calotte de Rochefort.
Raide et exposé cheminement glaciaire pour arriver au sommet du Rocher du Reposoir.
Le redouté sérac Whimper, menace lors de l’ascension de la Walker par la voie normale.
Plusieurs rappels amènent au glacier de Planpincieux.
Refuge Boccalatte-Piolti, 2804 mètres, 18h30. Planpincieux, 1599 mètres, 20h.
1er traversée Rochefort - Pointe Whimper le 14/08/1923 par J. Knubel, H.O. Jones et G.W. Young.
